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dioxine - Page 2

  • En avant le débat itinérant

    « Pourquoi tu le jettes ?!... » débat public itinérant organisé par des collectifs, des associations et des personnes souhaitant partager leurs interrogations sur la gestion des déchets ménagers: « Est-il possible de réduire les quantités et la production des déchets ? De les valoriser à l'heure où les prix des matières premières de la planète s'envolent ? Quels sont les effets liés aux choix de chacun dans sa vie quotidienne et à ceux des instances politiques ? »

    Suite aux premiers rendez-vous des 10 et 17 avril à la Mairie de Chinon le débat itinérant porte ces questions dans d'autres villes du SMICTOM:

    JPEG Mai 2009 Affiche.jpg3e rendez-vous à RICHELIEU le 25 mai 2009 à 20h30 Salle des Fêtes: Projection du film « Déchets à ménager » de Cécile Couraud et produit par le Centre National d’Information Indépendante sur les Déchets (CNIID) concernant les perspectives en matière de traitement des déchets.

    4e rendez-vous à l'ILE BOUCHARD le 27 mai 2009 à 20h30 Salle du cinéma du Centre municipal: Présentation du document "Tout ce que vous aimeriez savoir sur les déchets et qu’on ne vous a (peut-être) jamais dit..." par les auteurs : Daniel Houlle, élu et ancien conseiller régional, et Robert Afif, ingénieur retraité, acteurs du projet de retraitement multifilières des déchets « ANGERS-LOIRE BIOPÔLE ».

    5e rendez-vous à AZAY LE RIDEAU le 28 mai 2009 à 20h30 Salle Aucher - Maison des Associations: Présentation du document "Tout ce que vous aimeriez savoir sur les déchets et qu’on ne vous a (peut-être) jamais dit..." par les auteurs : Daniel Houlle, élu et ancien conseiller régional, et Robert Afif, ingénieur retraité, acteurs du projet de retraitement multifilières des déchets « ANGERS-LOIRE BIOPÔLE ».


  • Clermont Communauté et Angers Loire Métropole ont choisi un traitement innovant des déchets pour préserver l'environnement et réduire les coûts

    Le projet de construction d'un incinérateur de déchets ménagers à Clermont-Ferrand a suscité de fortes oppositions de la part de la majorité des professionnels de la santé (lettre des 531 médecins clermontois en rappel ci-dessous), mais aussi de nombreux élus et d'associations citoyennes.

    Hormis les dangers pour la santé publique et pour l'environnement, l'enquête publique a démontré que le projet d'incinérateur Vernea/VALTOM n'était pas conforme au Plan Départemental d'Elimination des Déchets ménagers et que par ailleurs, ce projet était en totale inadéquation avec les besoins de la population, en matière de traitement des déchets et de démographie, évolutifs, mais également en termes de coût.

    A la demande du Préfet, Clermont Communauté a présenté, en août 2007, le projet alternatif OPHRYS : Pour_une_gestion_citoyenne_des_dechets.pdf

    Schéma comparatif des projets Vernea/VALTOM et OPHRYS : Clermont Presentation projet OPHRYS 04.04.08.pdf

    Lettre des 531 médecins clermontois :http://www.airpur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=153&Itemid=10

    Biopole d'Angers Loire Métropole : remplacement dès 2010 de l'incinérateur actuel des Roseraies par un projet innovant de retraitement des déchets. Après plusieurs années de réflexion et débat, en lien notamment avec les riverains et les associations proches de l'environnement, ce choix illustre surtout un choix politique, dit le président d'Angers Loire Métropole. Ce choix s'appuie sur de nouvelles technologies comme le traitement mécano-biologique et la méthanisation pour produire du gaz naturel et du compost pour agir en faveur de l'environnement et du développement durable. Le principe retenu consiste tout d'abord à diminuer la quantité de déchets à traiter, en développant les initiatives de prévention et la collecte sélective.

    Pourquoi et comment : http://www.angersloiremetropole.fr/index.php?id=9067

  • Incinérateur : 3 villes du 37 l'ont déjà refusé ...

    Ballan Miré est l'une des 3 villes, avec Saint-Pierre des Corps et Neuillé-Pont-Pierre à s'être opposée à la construction d'un incinérateur sur son territoire.

    Lire le courrier adressé par l'association ADEB (Association pour la Défense de l'Environnement en Ballan Miré) au nom des habitants, associations, médecins, élus de la ville au Président de la Commission d'Enquête en 2004 : ADEB L PdtComm d'Enquete Ballan Miré.pdf

    Paragraphe qui intéressera particulièrement les Chinonais, dont l'incinérateur actuel (20.000 tonnes par an) sévit depuis une vingtaine d'années à seulement 50 mètres de l'Hôpital Rabelais avec ses nombreux patients résidents de longue durée, sa maternité et la Clinique Jeanne d'Arc, et qui se voient aujourd'hui imposer la construction d'un nouvel incinérateur, d'une capacité de 40.000 tonnes par an, sur le même site :

    L’article 3 de l’arrêté du 20 septembre 2002 relatif aux installations d'incinération et de co-incinération de déchets précise que le choix du site doit tenir compte, entre autres, de la proximité immédiate d’établissement de santé. Le site de Ballan est situé à 2 km au nord-ouest du centre de rééducation cardio-vasculaire de Bois Gibert, alors qu’il est acquis que le risque est maximal à moins de 5 km d’un incinérateur.

    Neuillé-Pont-Pierre A Neuillé, les habitants et associations ont fait réunion publique et envahi le conseil qui, devant la force des contestations, a dû voter contre l'implantation de l'incinérateur.

    Le saviez-vous ? Petit historique récent du projet d'installation d'un incinérateur de déchets ménagers en Indre et Loire.

    En 2003, trois sites pour l'installation d'un incinérateur de déchets ménagers sont proposés sur Ballan-Miré, Saint-Pierre-des-Corps et Neuillé-Pont-Pierre.

    En 2004, le plan est soumis à enquête publique. Toutes les communes pressenties refusent l'incinérateur. La question empoisonne la campagne des cantonales : les Verts et le PS signent un moratoire sur l'incinérateur.

    En 2005, le département est désormais chargé du suivi du plan (départemental pour l'élimination des déchets). En février, les associations de défense de l'environnement lancent un recours administratif.

    En 2006, on projette l'extension des décharges de la Baillaudière, à Chanceaux-près-Loches, puis celle de Sonzay… de quoi enfouir les déchets non recyclables jusqu'en 2025.

    En 2008, tombée en sommeil, la question de l'incinérateur refait mollement surface pour les élections. Le projet d'incinérateur à Chinon remet le feu aux poudres.

    Source : La NR du Centre Ouest : http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=37&num=99229

  • Lettre ouverte aux habitants du canton de Chinon 10.11.08

    Elue en mars 2008 comme conseillère générale du canton de Chinon, j’ai été invitée par Jean-Pierre Duvergne, Président du SMICTOM du Chinonais, à participer à une réunion du groupe de travail et de suivi composé d’élus, d’acteurs institutionnels, de représentants de l’Etat, de riverains et de quelques membres du SMICTOM, où nous a été présenté le projet de nouvelle unité de valorisation énergétique. J’ai donc rapidement discuté de ce sujet avec Claude Roiron, Présidente du Conseil Général, le suivi du Plan Départemental d’Elimination des Déchets Ménagers et Assimilés (PDEDMA) étant une des missions de notre collectivité territoriale.

    Lors de la visite de l’actuel incinérateur le 11 octobre dernier, en compagnie entre autres d’Alain Kerbriand-Postic, Vice-Président du Conseil Général chargé du développement durable, et de moi-même, Claude Roiron a reçu une délégation de manifestants opposés au projet. Elle a souligné la nécessité de réviser le Plan Départemental et indiqué que le Conseil Général s’y emploierait dans les prochains mois. Le Conseil Général, comme il en est de sa compétence, organisera une série de réunions - débats avec les associations et la population, dans le cadre de la procédure de révision du Plan Départemental.

    C’est pour cela qu’aujourd’hui, tout en respectant la décision du SMICTOM du Chinonais votée à la quasi-unanimité en 2006 de renouveler l’installation actuelle et alors que la procédure d’appels d’offres est en cours pour désigner l’entreprise chargée de construire cette installation, je demande à Jean-Pierre Duvergne de surseoir à cette décision afin de permettre au Conseil Général d’organiser les débats dans les conditions les meilleures et les plus équitables possibles.

    Christiane Rigaux
    Vice-Présidente du Conseil Général d’Indre et Loire, le 10 novembre 2008